Présentation

Dans ce blog on vera les productions écrites par Daniel Zelaya, étudiant de langues étrangères, faites au cours d'atelier de français 5, sous la surveillance et corrections de Monsieur Pedro Zelaya.

Comparaison d’une série télévisée et la vie réelle : Black Mirror

GENRE : science-fiction/dramatique
CRÉATEUR : Charlie Brooker
PAYS D'ORIGINE: Royaume-Uni

La série télévisée « Black Mirror » compte avec 2 saisons et 6 chapitres jusqu’à la date.

À travers l’écran, Charlie Brooker et son repart, nous montrent une réalité exagérée du futur.

Ce futur ne se voie pas si éloigné, chaque chapitre raconte une histoire différente qui fait référence aux habitudes de la population globale. Avec la mondialisation, les problèmes du monde entier son collectifs, rien nouveau ou différente. Pas importe notre localisation.

Un des thèmes ou problèmes les plus fréquentes d’aujourd’hui, c’est l’utilisation excessif de la technologie. L’être humain est devenu dépendant des écrans. L’acceptation que ces appareils ont acquis chez nous est incroyable. Black mirror touche ces thèmes pour faire une appelle à la conscience humaine, il existe une vie alternative hors du monde de la technologie.

Si on n’arrête pas l’influence des moyens de communication sur nous, ils vont nous contrôler. Difficile à croire la facilité avec laquelle l’individu de nos jours accepte l’esclavage, la dépendance, la satisfaction de ses désirs sans importer à qui ils affectent.

La technologie ne connait pas de limites, chaque un doit se proposer ses propres limites en se servant de ses créations. On essaye de faire de cyborgs, des robots, de téléphones intelligents et on sait que ces appareils sont hasardeux pour nous-mêmes. Qui n’a jamais pensé à la planète Terre contrôlé par des robots ?

Malgré notre connaissance de différencier entre bien et mal, on continue en satisfaisant nos besoins, comme la satisfaction de regarder l’humiliation des autres pour exemple.

Black mirror contient des scènes fortes, comme son nom le dit c’est un miroir noir de notre esprit dans un futur prochain au tour de coin. 

Trailer: https://www.youtube.com/watch?v=jROLrhQkK78

                                                            Daniel zelaya

Fait Divers: Homme singe envahi la capitale

Homme singe envahi la capitale

Le week-end passé, un adolescent de 19 ans a surpris la population de Tegucigalpa en se métamorphosant en un singe.

Pendant trois jours, le confondu adolescent a joué le rôle d’un animal.

Les témoignages affirment qu’il a dormi dans les rues et qu’il s’est déplacé à quatre pattes partout dans la capitale.

Un citoyen a pris des photos au moment précis quand il était en train de monter un monument.

Kevin « le singe » Castillo a avoué hier qu’il s’est laissé contrôler par ses instincts animaux.
L’étudiant d’architecture a soutenu que son comportement avait été provoqué par le manque d’attention et de temps de divertissement.

                                                                                                                             

                                                                                                                 Daniel Zelaya

Article sur la mode: La mode à travers le temps

 La mode à travers le temps

Aux ans quatre-vingts en Honduras la radio et la télé ont commencé à influencer la population de tel façon qu’ils se sont réunis pour écouter ou regarder les programmes qui transmettraient de la musique. À TRAVERS DE LA MUSIQUE EST-CE QUE LES MODES SE TRANSMETTRENT.

Qui admiriez-vous?

Dans les 80s, les adolescents ont connu la mode «pop» grâce à ses symboles de luxe : Madonna et Michael Jackson. Le disciples de la reine et du roi du «pop» s’habillaient et dansaient comme eux.

Les robes en paillettes, des talons, des jupes, des gants et des milliers d'accessoires aux couleurs vives étaient les référents pour les femmes, sans oublier les coiffures volumineuses.

Les hommes utilisaient des vestes et coiffures avec quantités exagérées de gel de cheveux.

Un autre mouvement, le «Rock & Roll», se déroulait au même temps. « Les rockers » s’habillaient comme les intégrants des bandes de rock qu’ils voyaient dans les vidéos transmis par MTV, la chaine télévisé qui a exploité le potentiel des vidéos musicaux, depuis ses racines aux années 80s.

Tout en commençant les années 90s, le rap a envahi la télé et pourtant la population réceptrice.

En Honduras ont apparu des groupes de rap. Les « rappeurs » utilisaient des vêtements sportifs, des gros pantalons et des chapeaux utilisés de la forme inverse.

À cette époque-là les modes se sont simplifiées en ouvrant chemin à la simplicité et à la commodité. Le style « grunge » de Kurt Cobain du groupe NIRVANA a influencé l’époque. Les ados utilisaient des jeans usés et des chemises à carreaux. Les femmes utilisaient des chemises courts pour que tout le monde pourriez regarder leurs piercings et leurs tatouages. Les femmes se coupaient les cheveux avec style de garçon, les cheveux courts étaient la sensation.

 

Une autre influence « pop » a apparu ; Britney Spears. Les jeans taille haute et le maquillage excessif ont marqué la fin de cette période. 

Ce jusqu’aux années 2000 que latine Amérique a été bombardée par une quantité des modes et des styles jamais vues.

Jusqu’à la date les tribus urbaines ont toujours eu des rivalités.

Les rockers ont des conflits avec les « Emos » (pour l'exagération des émotions), avec ceux qui écoutent du « Reggaeton » (pour se vanter d'un rythme répétitif, et le sexisme), « Hipsters » et « Floggers » (pour son arrogance et son orgueil d'une plus grande économie et son égocentrisme). Et évidemment pour leurs goûts musicaux.

Suivre une mode, n’a pas aucun bénéfice. Néanmoins, n’importe quelle soit votre façon de vous habiller, le monde aura un nom pour votre style. Personne ne peut se libérer des étiquettes.

L'homme se laisse guider par les apparences (le dressing) pour sélectionner avec qui se relationner, au lieu d’être guidé avec ce qui est à l'intérieur.

                             Daniel Zelaya

Résumé : Casse-tête chinois

Casse-tête chinois

Casse-tête chinois est un film français réalisé par Cédric Klapish. Le film est sorti en 2013. Casse-tête chinois est un mélange entre la comédie dramatique et le romance.

Le personnage principal s’appelle Xavier. Un homme d’environ 40 ans qui a dédié sa vie à écrire et qui a trouvé le succès à Paris. Mais sa femme a décidé de changer de vie et elle est allée à New York avec ses deux enfants.

Alors, Xavier, qui bien aime ses enfants, doit aller à New York et il trouve un appartement à Brooklyn dans un quartier chinois plus spécifiquement.

Étant donné que Xavier a vécu une vie trop compliqué, il raconte ses histoires à travers ses livres.

On peut observer comment Xavier lutte pour trouver sa place dans le monde avec les personnes qu’il aime et comment le destin lui joue des blagues en lui faisant rencontrer des personnes qu’il n’avait jamais pensé qu’il aurait eu besoin.

Comme tous les êtres humains, il a fait beaucoup d’erreurs. Il y a des occasions où on donne de l’importance à des gens qui ne nous correspondent pas de la même façon et à ceux qui nous cherchent, on ne leur fait pas attention.

Cela est qu’on appelle casse-tête chinois. Les détours de la vie et la manière bizarre de survivre aux événements imprévus et inexpliqués qui se déroulent autour nous et qu’on ne peut pas contrôler avec nos mains.

                                                                                                            Daniel Zelaya

Critrique de film : Casse-tête chinois

Casse-tête chinois

TITRE : Casse-tête chinois (1h57min.)
RÉALISATEUR : Cédric Klapisch

AVEC : Romain Duris, Audrey Tautou, Cécile de France
GENRE : Comédie dramatique/Romance
DATE DE SORTIE: Le 4 décembre 2013 (en France)

Résumé (encore une fois)

Casse-tête chinois est un film français réalisé par Cédric Klapish. Le film est sorti en 2013. Casse-tête chinois est un mélange entre la comédie dramatique et le romance.

Le personnage principal s’appelle Xavier. Un homme d’environ 40 ans qui a dédié sa vie à écrire et qui a trouvé le succès à Paris. Mais sa femme a décidé de changer de vie et elle est allée à New York avec ses deux enfants.

Alors, Xavier, qui bien aime ses enfants, doit aller à New York et il trouve un appartement à Brooklyn dans un quartier chinois plus spécifiquement.

Étant donné que Xavier a vécu une vie trop compliqué, il raconte ses histoires à travers ses livres.

On peut observer comment Xavier lutte pour trouver sa place dans le monde avec les personnes qu’il aime et comment le destin lui joue des blagues en lui faisant rencontrer des personnes qu’il n’avait jamais pensé qu’il aurait eu besoin.

Comme tous les êtres humains, il a fait beaucoup d’erreurs. Il y a des occasions où on donne de l’importance à des gens qui ne nous correspondent pas de la même façon et à ceux qui nous cherchent, on ne leur fait pas attention.

Critique de film

Dans ce film, Cédric Klapish, se maintient fidèle à son style, nous devons à Kaplish les deux premiers parties de cette trilogie, « L’auberge espagnole » et « Les poupées russes ». Les acteurs ne sont pas trop mal, toujours avec des interprétations fraiches et relaxés pas si exigeantes étant donné que les dialogues et les décors parlent par eux-mêmes.

L’image est visuellement attirante, New-York est une grande ville qui possède assez des activités culturelles qu’ont aidé la compréhension du film.

Le scénario, c’est-à-dire l’histoire est un petit peu prévisible, Kaplish ne s’est pas compliqué en prêtant attention aux détails. Comme pour exemple, la facilité avec laquelle Xavier se déplace autour le monde ou comment est-ce qu’il se devient écrivain.

Enfin, on trouve dans Casse-tête chinois, une histoire avec un message réel mais avec des opportunités de vie pas si réels. Il s’agit d’un film plus à regarder, pas à être nommé pour un Oscar. Toutefois, le film a eu une bonne réception de part du public de ciné indépendant.

                                                                                      Daniel Zelaya

                                                                                            

Essai: La peine de mort: Un équilibre sur la balance de Thémis ?

La peine de mort: Un équilibre sur la balance de Thémis ?

Œil pour œil, dent pour dent. Une des premières manières d’exercer justice.Dans l’antiquité, les exécutions se faisaient sans jugement. De nos jours, sera-t-elle une solution viable ?

Tout d’abord, lutter contre la nature humaine d’appliquer la loi du talion semble difficile. De plus, si les puissances mondiales appliquent tel châtiment, les pays avec les taux de criminalité les plus élevés le considèrent comme une solution efficace.

En 2011, aux États-Unis, le cinquième pays qui exécute le plus avec la peine de mort, a tué 43 criminels, deux desquels, se sont trouvés innocents après une enquête approfondie.

C’est-à-dire que les procès criminels sont faillibles. Les conséquences de la peine de mort sont irréversibles et ne donnent pas lieu à la réhabilitation ni aux deuxièmes chances.

Aujourd’hui, les associations des droits humains, les entités religieuses et les pacifistes, protestent contre la peine de mort.

Leurs arguments sont irréfutables. Du côté de la loi, un des droits fondamentaux de l’être humain se trouve dans les articles 3 et 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : « Le droit à la vie ».

Or, ceux qui suivent les ordonnances de la Bible, évoquent un des dix commandements de Dieu : « tu ne tueras pas ». Ils concèdent le pouvoir de donner ou d’ôter la vie au Créateur.

Par contre, les familles des affectées par la criminalité, veulent prendre la situation dans leur mains et bataillent contre les sentiments de vengeance. Ils voient la balance incliné à faveur des  malfaiteurs et cherchent un châtiment du même poids des actions de ces derniers.

Ils se demandent comment un individu de cette catégorie peut continuer sa vie sans être sanctionnées. Difficile à pardonner ou à oublier ? Oui, mais pas impossible.  Nous, comme partie d’une société évoluée et qui cherche la paix, ne pouvons pas choisir de tuer et de maintenir en vie.

À la fin, la vengeance n’est pas un soulagement. Si on continue de cette manière, la société ira de pire en pire. La peine de mort n’empêche pas d’autres criminels de tuer ou de violer.

Il faut intervenir et promouvoir la tolérance et l’appréciation pour la vie. Il nous faut éviter devenir en meurtriers des meurtriers. Un titre que ne nous correspond pas.

                                                                                           Daniel Zelaya